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Impressions d’un passant à Liège

Références

[i] Simenon, Georges. Pedigree. Babel, Arles: Actes Sud, 1992.

[ii] Andrevon, Jean-Pierre. Je me souviens de Grenoble. Il y avait des marrons et des hannetons. . . L’empreinte du temps, Grenoble: Presses universitaires de Grenoble, 2001.

[iii] Pérec, Georges. Je me souviens. Paris: Hachette Littérature, 1978.

[iv] Cingria, Charles-Albert. Impressions d’un passant à Lausanne. Vol. 3. Oeuvres complètes, Lausanne: L’Age d’Homme, sd (1932).

[v] Spitz, Jacques. Le voyage muet. nrf, collection blanche, Paris: Gallimard, 1930.

[vi] Frémont, Armand. Portrait de la France. Paris: Flammarion, 2001.

[vii] Troyes, Chrétien de. Conte du Graal (Perceval). Traduit par L. Foulet, Stock, Paris, 1947. Paris: A.G. Nizet, 1972.

[viii] Brosse, Jacques. Les Grandes Personnes. Paris: Robert Laffont, 1988, p. 338. À Jacques Brosse, Michaux déclara: “Ah, vous évidemment ce n’est pas la même chose, vous écrivez dans votre langue maternelle! –Vous n’allez tout de même pas me dire qu’on ne parle pas le français à Namur? –Ce n’est pas le français qu’on y parle, mais le wallon!” Cité par Leys, Simon. L’ange et le cachalot. Paris: Le Seuil, 1998, p. 139.

[ix] Voir par exemple Defrecheux, Jean. Expressions en wallon liégeois. Liège: CRIWE,

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